Cela ne fait même pas 8 mois que son premier album Yours Truly a vu le jour, et à peine un peu plus d'un an qu'Ariana Grande a débarqué pleine de fraicheur dans notre univers musical avec The Way. Mais à la manière de Rihanna connue pour enchainer les sorties, la jeune chanteuse lance déjà une nouvelle ère. Cela s'est passé officiellement aujourd'hui avec la mise en ligne (en écoute et en vente) du premier single, Problem.
Elle a fait appel à la rappeuse Pop du moment, l'Australienne Iggy Azalea dont la participation est plutôt valorisante. Le duo fait mouche, c'est indéniablement un bon choix. Son ami Big Sean se joint à elle pour une intervention bien plus discrète : c'est lui la voix masculine qui chuchote quelques phrases au niveau des refrains.
Elle a fait appel à la rappeuse Pop du moment, l'Australienne Iggy Azalea dont la participation est plutôt valorisante. Le duo fait mouche, c'est indéniablement un bon choix. Son ami Big Sean se joint à elle pour une intervention bien plus discrète : c'est lui la voix masculine qui chuchote quelques phrases au niveau des refrains.
Sans surprise, Ariana assure une interprétation sans faille et sa voix et toujours aussi belle.
Au niveau musical, elle ne tombe heureusement pas dans la Pop-Dance has-been et reste fidèle à la pop urbaine qui l'a révélée. Mais c'est dans un style moins doux, plus gueulard et plus rythmé. Exit le R&B à la Mariah Carey et bonjour le saxophone grinçant, la miss nous fait de la pop urbaine à la Get It Right de Jennifer Lopez. Plus près de nous, elle sort ici une sorte de version féminine moins fraiche du Talk Dirty de Jason Derülo.
Et tout porte à croire qu'elle aura un succès mondial au moins aussi grand que celui qu'il a connu à la fin de l'hiver. En effet, Problem est #1 sur iTunes dans 30 pays et top 20 partout ailleurs. Aux USA, elle a carrément 75% d'avance sur le second (qui n'est autre que Pharrell avec Happy), et s'est payé le luxe de battre le record du titre le plus rapidement #1 sur iTunes US jusque là détenu par Taylor Swift : 37 minutes pour Problem contre 47 pour We Are Never Getting Back Together en 2012.
Bref, contrairement au reste du monde, je ne suis pas convaincue (et forcément un peu déçue), mais je pense que l'album nous réserve beaucoup mieux, j'apprécie qu'elle garde ses influences urbaines et je suis ravie pour elle car elle mérite ce succès.
Au niveau musical, elle ne tombe heureusement pas dans la Pop-Dance has-been et reste fidèle à la pop urbaine qui l'a révélée. Mais c'est dans un style moins doux, plus gueulard et plus rythmé. Exit le R&B à la Mariah Carey et bonjour le saxophone grinçant, la miss nous fait de la pop urbaine à la Get It Right de Jennifer Lopez. Plus près de nous, elle sort ici une sorte de version féminine moins fraiche du Talk Dirty de Jason Derülo.
Et tout porte à croire qu'elle aura un succès mondial au moins aussi grand que celui qu'il a connu à la fin de l'hiver. En effet, Problem est #1 sur iTunes dans 30 pays et top 20 partout ailleurs. Aux USA, elle a carrément 75% d'avance sur le second (qui n'est autre que Pharrell avec Happy), et s'est payé le luxe de battre le record du titre le plus rapidement #1 sur iTunes US jusque là détenu par Taylor Swift : 37 minutes pour Problem contre 47 pour We Are Never Getting Back Together en 2012.
Bref, contrairement au reste du monde, je ne suis pas convaincue (et forcément un peu déçue), mais je pense que l'album nous réserve beaucoup mieux, j'apprécie qu'elle garde ses influences urbaines et je suis ravie pour elle car elle mérite ce succès.
Bonus : Le premier live qu'elle a donné ce weekend :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire